Fox ou Requin ? : l'occasion de se poser les vraies questions...
Ne vous trompez pas, ces deux notions footballistiques ont des signification bien différentes et ont un impact direct sur l'animation offensive d'un équipe.
Voici le dilemme pour tout entraineur : Choisir un fox ou un requin en pointe ? Peut-on élaborer une éventuelle symbiose entre le fox et le requin ? Ou carrément exclure le Fox pour bénéficier de 2 Requins ou inversement ? Ou un système losange avec deux Requins et un Fox ? Y a t-il des risques de "Cannibalisation" du Fox ? Voici un ensemble de questions que la Société Actifoot vous propose de répondre de façon à toujours accélérer votre formation "terrain" pour améliorer vos résultats professionnels sur kestufoot notamment.
Fox ou Requin : deux définitions à deux dimensions bien différentes !
Le Requin : un véritable Kärsher : attaquant qui percute, qui perfore et balaye une défense. L'âme du carnivore, tout simplement une machine à tuer! Plus précisément sur le terrain, une bête qui aime les espaces, la vitesse, les frappes lourdes et les duels physiques. Exemples : Drogba, véritable requin bleu à Chelsea. Luca Toni, un monstre physique, très fort des épaules et de la tête
Le Fox : Un poison diraît certains, un homme au couteau pour d'autres. L'homme de la surface de réparation : toujours très difficile à cerner pour les défenseurs voir même pour l'entraîneur, parfois absent pendant 85 minutes, il a cette capacité mentale et technique de surgir au bon moment, il sent les bons coups, il a le sens du but, de la précision. Il maîtrise le just-in-time. Autre qualité à prendre bien en compte : il fait peur à une défense ! De part son absence, il sème le doute chez les adversaires...
Exemples : Trezeguet : 1 machine à marquer tout simplement. Il affole les statistiques en Italie
Inzaghi : "Supper Pippo" : un voleur de buts. Typiquement l'attaquant qui effraye son défenseur quand il respire dans la zone tampon...
Fox + Requin : la bonne combinaison ?
Difficile à juger, pas de vérités scientifiques pour l'entraîneur. Les exemples se contredisent dans l'histoire. Comment expliquer alors l'échec Trezeguet-Henri alors que la combinaison Van Nistelrooy - Raùl marche à merveille? La Société Actifoot préconise tout de même d'avoir un fox dans la compo finale. D'autres créatures sont difficiles à cerner, prenons juste comme exemple un Djibril Cissé, Un Kanouté ou bien encore un Bobo Vieri ? Au final, je dirais que l'entraîneur doit être multicarte et adapter son système offensif par rapport à son adversaire.
Une question de flexibilité...
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